Je suis en forme ce soir. je vais commencer un récit qui sera en plusieurs partie : Amis pour la vie. Voici la première partie
Un coup d’épée, un seul. Un seul suffirait à faire stopper la bataille qui enflammait la ville sans un seul moment de répit. Un seul coup, un seul …
- Attention ! la branche va céder si tu continue ! cria le jeune homme a son ami, qui se trouvait à plusieurs mètres de hauteur.
Sirrus et Richard, comme tout bon adolescent se prenant pour de grands aventuriers, étaient partis à l’aube en directions de la forêt la plus proche. Meilleurs amis du monde, ils ne se quittaient jamais d’une semelle. L'un était apprentis magicien, l'autre apprentis soldat. Tout deux s'était engagé dans l'armée du royaume en même, pour ainsi espérer se retrouver dans la même unité - même si leurs spécialités divergeaies.
Le plus jeune mais tout de même le plus grand et le plus robuste des deux, Sirrus était grimpé à l’arbre le plus haut de la forêt après avoir cru voir quelque chose de précieux dans le nid d’une pie. Il se trouvait désormais haut dans la cime de l’arbre, accroché à la fameuse branche, qui menaçait à tout moment de céder… ce qui arriva dans les secondes qui suivirent l’avertissement de Richard. Sirrus commença alors sa juste vers le sol… pour s’arrêter à peine à quelque centimètre, nez à nez, avec une pierre fortement pointue. Ce dernier avait eu de la chance que son compère connaisse la magie, et notamment le sort de lévitation…
- Merci, dit-il à richard tout en continuant a louché sur la pierre qui lui faisait face. Mais je pense que tu peux relâcher le sort… Enfin doucement, je n’ai pas trop envie de la rencontré celle-là…
- Tu es sûr mon cher ? Répliqua richard, un sourire malicieux aux lèvres. Cela pourra toujours t’apprendre à ne plus me faire peur pour rien.
Sur ses paroles il relâcha doucement la pression du sort, faisant descendre dangereusement son ami sur la pierre. Ce dernier poussa un petit gémissement lorsque la pierre toucha son nez. C’est à ce moment que Richard renforça le sort, fit remonter Sirrus dans les airs. Il le remit en position verticale – non sans lui faire faire deux ou trois looping – et effaça le sort d’un seul coup. Ce qu’il en résulta fut très simple : Sirrus resta pendant une seconde dans les airs… et chuta violemment sur les fesses, à quelques centimètres de la pierre.
- Et tu te crois malin de faire ça, souffla-t-il tout en se relevant et enlevant la poussière de sa veste en cuir.
Richard ne répondit que par un simple sourire et reprit la marche. Ils ne devaient pas être en retard. Demain serait leur incorporation dans l’armée du royaume, demain se réaliserait leur rêve de gosse. Sirrus le rattrapa – tout en continuant à proférer tout les noms d’oiseaux envers son ami - et continua comme cela pendant quelques minutes. Ils continuèrent de marcher jusqu’au crépuscule, et constituèrent un camp de fortune pour la nuit – un simple pin comme protection. Sirrus, trop excité pour dormir, prit le premier tour de garde. Adossé à un rocher, il s’était de façon à pouvoir avoir vue sur le camp et les alentours à la fois, comme lui avait appris son père. «Tout cela est derrière désormais» pensa-t-il en se remémorant certains souvenirs qui lui était cher.
C’est avec plaisir qu’il laissa son esprit vagabondé à travers tout ces souvenirs, au point qu'il ne vit pas les ombres approcher dangereusement autour du feu et de son ami assoupit...
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Dim 8 Oct - 23:54
