C’est l’histoire d’une femme nommée Alexandra, depuis toujours elle avait hériter des joli cheveux blond bouclé de sa maman, de ses joli yeux bleu et de sont sourire ample. Ce qui chagrinait beaucoup sa sœur Cynthia, qui elle n’avait hériter que des grands pieds de son père et de son gros nez véreux. Cynthia depuis toute petite est très jalouse de sa sœur qui enchaîne conquête sur conquête, tous des hommes plus beau les uns que les autres. Le seul homme qui c’était un jour intéressé à Cynthia n’utilisait en fait qu’un prétexte pour se trouver près d’Alexandra.
Hier les deux sœurs se retrouvèrent nez à nez autour d’une table soigneusement préparée par leurs mère. Cynthia comme d’habitude est venue seule, et pour ne pas changée Alexandra était accompagnée, mais aujourd’hui, ce n’était pas un homme comme les autres, c’était un homme d’un charme affolant, et d’un regard d’une profondeur exquise. Cynthia en tomba littéralement amoureuse, ce fût la première fois qu’elle ressentait ça, mais elle se jura de se l’approprier par un moyen où par un autre.
Elle s’avait que ce n’était pas avec son charme dévastateur qu’elle arriverait à ses fins, et qu’il fallait donc rusé. Cynthia fit comprendre à sa sœur que toute les deux elles ne passaient pas assez de temps ensemble, et qu’elle aimerai se rapprocher d’elle, après tous, elles étaient sœurs. Cynthia essayait d’en savoir plus sur ka nouvelle relation d’Alexandra, et apprend finalement que les deux tourtereaux doivent se marier dès le printemps.
Qui dit mariage dit bien entendu mariée, et Cynthia avait toujours eu un sens aigue des détails, elle insista alors pour savoir si la robe était déjà prête. Apprenant qu’elle était prête depuis plusieurs mois Cynthia explique de suite à sa sœur qu’il se pourrait qu’elle ne rentre plus à l’intérieur, en quelque mois on n’a le temps d’en prendre du poids. Elle lui demande alors ce qu’elle avait prévu de faire de sa chevelure, un joli voile, ou les laisser à l’air. Quoi qu’il en soit il fallait les défriser d’après Cynthia, tous les hommes préfèrent les cheveux défrisés.
A ces mots, Alexandra commence petit à petit à prendre peur. Ces cheveux n’avaient jusque la jamais été défrisés. Mais pourtant ils avaient l’air de plaire à pas mal de garçon. Elle se demande alors si elle leurs aurait déjà plus, ou si pour eux elle n’aurait été qu’une poupée de cire, un jouet en plastique. C’est vrai qu’elle avait quelque rondeur au ventre se disait elle, et qu’il se pourrait que certain garçon l’es déjà remarquer pensa t’elle. Comment un ventre aussi rond pouvais t’il déjà avoir été aperçu par d’autre commença t’elle a se dire, personne ne devrai avoir le droit de voir cette horreur.
Autant dire que jusqu'à ce que le printemps arrive, la belle Alexandra c’est posé énormément de question, et n’a pas cessé de penser à tout cela. Le moment alors venu devant l’autel de la question existentiel qui peut faire basculer une vie, elle était tétanisée, aucun son ne sortait de sa bouche, puis pour finir, elle cria non, je ne te mérite pas, et elle parti en sanglot loin de l’église.
Le pauvre homme tout seul devant son prêtre devenait rouge, et se sentait honteux, mais cela na pas durer longtemps avant que Cynthia trouve un solution et décide de remplacer sa sœur, après tout ce charmant jeune homme serai tout de même dans la famille, rien ne serai perdu. Alexandra ne pu alors supporter une tel chose, et préféra se donner la mort plutôt que de se sentir moche. C’est alors que la vilaine petite sœur épousa le bel homme destiné à la sœur ravissante. Comme quoi les apparences sont trompeuses, et que la plus belle des femmes n’est pas toujours celle que l’on croit. Tant qu’Alexandra se sentait belle, elle l’a été jusqu’au moment où elle c’est mi dans la tête qu’elle n’y était plus.
Sur ce texte, j'aimerai bien s'il vous a plus qu'on réflechisse à la question plus en détail, et je vous renvoie alors à une question phylosophique que je me suis permi de poser dans la rubrique adéquate.