exercice 13 : c'est moiiiii

Ca faisait longtemps que je n'avais pas propose un exo vi vi je sais l'autre n'est pas fini mais ca n'empeche gare a vos oreilles les autres faut faire l'autre aussi !

Alooorrs 13... 13 petit numero magique alors je ne resiste pas a mettre des mots en moyenne orientes vers ca (ca vous etonne de ma part n'est-ce pas ? lol)

Rune, breche, frene, lointain, pentacle.

Voilaaaa a vos claviers (on aura remarque ma bonne humeur je pense lol)


Pour l'exemple je commence


Daeg, Is, Ur
Son tirage s'affichait lugubrement... runes inversees destin scelle...
Elle ranga rapidement dans le sombre tissu ces pierres annonciatrice d'un desastre certain.
- Ca approche... murmura-t-elle.
La femme en face d'elle frissona mais son regard etait decide : ensemble ils allaient affronter la terreur sans nom.
- Nous nous en sortirons n'aie crainte.
Elle la regardait ranger son sachet d'un geste nerveux et tentait de rassurer son amie.
Deux jeunes femmes habituellement paisibles mais pour le moment leur regards montrait une frayeur importante.
Un hululement lointain les fit sursauter et elles eclaterent d'un rire nerveux.
- On dirait deux adolescente une veillee d'halloween plaisanta la jeune sorciere qui maniait les runes.
Lou eut un sourire mais ne parvint a continuer l'echange de banalites. Son amie chercha sous le lit un grand sac et en sortit quelques instruments. Une plume, quelques plantes et un pentacle resterent dehors du sac pendant qu'elle rangeait a nouveau le reste.
Elles sortirent toutes deux au dehors, les objets dans les mains. Apres une longue marche, les deux jeunes femmes s'arreterent au pied d'un arbre majesteux. Chacunes dos contre le tronc , a l'oppose l'une de l'autre elles tracerent un cercle avec le sel et fermerent les yeux retrouvant la douce plenitude qui les envahissait comme a chaque fois.
- Bel arbre, beau frene montre-nous le chemin, commenca Lou
Elles deposerent les offrandes chacunes en meme temps a cote d'elles et l'autre poursuivit.
- Bel arbre, beau frene accueille-nous en ton sein.
- Que notre destin soit revele, que la magie soit elevee, finirent-elles d'une seule voix.
Alors elles virent... l'horreur des guerres et les morts en milliers. Le ciel devenait sang et dans un long cri elles parvinrent enfin cesser la magie.
Lou resta etourdie un moment et du chercher le reconfort des etoiles et de l'herbe sous ses doigts avant d'avoir ses pensees coherentes a nouveau. Elle se leva difficilement et observa alors qu'elle regardait l'arbre une longue breche a ses pieds. Elle frissona sous ce mauvais presage et s'approcha de son amie.
- Isa... c'est bon reine Isabeau faut te reveiller c'est fini...
Son sourire disparu lorsqu'elle vit la jeune fille inanimee, un leger filet de sang coulant de sa narine.
Elle chercha son pouls, eut un sourire douloureux et l'allongea paisiblement. Alors dans une priere elle fit l'arbre tombeau eternel de la jeune sorciere qui finalement, venait de mourir de la plus belle facon avant que les autres ne la suive... car si elle se fiait a sa vision, l'humanite n'allait pas vivre sa plus belle periode et elle seule le savait et pourrait contrer se desastre...



Tadaaam voila respirez j'ai fini pfiou ca fait cliche ok mais rien d'autre ne m'est venu pour cet exercice. A vous !

Pourquoi ça ferait cliché? Moi j'aime beaucoup. Mais je remarque que nos textes d'exo sont de plus en plus sombres...

-Il y a eu une brèche dans le cercle, le sort n'agira pas Margot.
-Non! C'est impossible! Il faut..il faut réessayer! Tenter quelque chose!

L'homme pris sa femme dans ses bras; des larmes brillaient dans leurs yeux gris ternis par la tristesse.

-C'est...fini ma chérie.

Sa voix s'éteignit dans un murmure. Ils pleurèrent tous deux en silence quelques minutes quand un homme au physique frêle et atrocement pâle les approcha avec précaution.
Il s'éclaircit la gorge pour signaler sa présence et leur tendit un parchemin en s'inclinant.

-Un message Monsieur; l'assemblée du Nord tente l'impossible pour Damoiselle Jane, mais elles n'ont guère d'espoir malheureusement. La malédiction qui lui a été lancé est très puissante et les runes de Dame Inoria ne sont pas de bon augure.

Il se haïssait de livrer ce genre de messages; il détestait cette expression qu'il lisait dans leurs yeux. Il s'inclina à nouveau la gorge nouée et se retira. Une musique mélodieuse s'éleva soudain dans le lointain.

Les époux s'entreregardèrent. La chanson infinie avait commencé, il n'y avait plus d'espoir.

-Maman...; articula une voix faible derrière eux.

Ils se précipitèrent dans la pièce. Il y régnait une angoissante obscurité; à travers le rideaux de ténèbres ils entendirent le souffle irrégulier de leur fille gisant dans l'immense lit.

-Nous sommes là ma puce; dit Margot d'une voix douce en s'efforçant de masquer son chagrin.

Ses parents lui prirent chacun une main en adressant une ultime prière à la Déesse. La petite fille leur adressa un magnifique sourire, ses yeux verts brillaient dans l'obscurité, et malgré son front moite elle paraissait en excellente santé.

-Maman; il y a une dame là-bas.

Jane pointa du doigt le fond de la chambre; ses parents firent volte face...il n'y avait rien.

-Une dame? Tu en sûre mon ange?; lui demanda son père.
-Oui, elle sourit. Elle porte une très jolie robe et sa main est posée sur un grand frêne.

Les adultes échangèrent un regard désespéré; une larme roula sur la joue de Margot. C'était bien la fin, la Grande Déesse venait chercher leur enfant.

-Tiens ma puce, prends ça.

Avec un geste tremblant, sa mère lui glissa un pentacle en argent dans la main.

-Garde-le toujours avec toi Jane, il te protègera et quand tu le regarderas tu songeras à nous.
-Mais Maman, c'est ton bijou, celui de grand-mère.
-Maintenant c'est le tien mon amour.
-Merci Maman. Papa, j'ai envie d'aller avec la dame...je peux dis?

Le pauvre homme étouffa un sanglot, sa voix était rauque.

-Oui ma chérie, elle est venue te chercher.

La fillette sourit.
-Merci Papa. Je vous aime vous savez.
-Nous aussi Jany.

Ils se jettèrent tous deux à son cou et l'embrassèrent avec l'énergie du désespoir. Quand ils relâchèrent leur étreinte, la tête de Jane avait glissé sur le côté, ses yeux clos pour l'éternité.

Les parents éclatèrent en sanglot; Margot poussa un cri. Son mari la prit dans ses bras; ils pleurèrent ainsi jusqu'à ce qu'une petite voix s'élève dans leur dos.
Ils se retournèrent ensemble vers le fond de la pièce; une splendide lumière se refléta dans leur yeux alors qu'un pâle sourire se dessinait sur leurs lèvres.

Leur fille, plus radieuse que jamais, leur adressait des signes de la main en souriant; une femme au visage bienveillant se tenait à ses côtés.

-Au-revoir Maman, au-revoir Papa! A bientôt!

L'image s'effaça lentement, le rire de Jane retentit une dernière fois dans la chambre.
A l'extérieur, au son des violons; les habitants se lamentaient tandis que les parents de la défunte souriaient.

ouah c'est beau !!!

lol merci, comme tu as vu je t'ai suivi dans le triste et le légèrement morbide^^

ben y a pas de mal a ca tant que c'est pas trop ! Apres tout on peut pas toujours ecrire dans le genre : tout va bien les ptits oiseaux chantent et le soleil brille !

Pourquoi les deux sont liés? oh ben alors là je tombe des nues!....

Alors, alors on a zappé cet exo? Pas bien! à vos plumes!

Bon moi je me prend peut etre un peu tard pour poster une réponse mais comme on dit "vaut mieux tard que jamais"

Aaaaaloooors...

Linda pénétra dans ce temple qu'elle apercevait de chez sa grand-mère... ce temple perdu au sommet de la montagne avoisinante. Elle ne s'était jamais intéressée à cette ruine surplombant le paysage mais aujourd'hui c'était différent. Sa grand-mère était très bizarre depuis quelques temps, elle qui avait toujours été une femme souriante avait perdu toute joie de vivre depuis deux mois.
Linda aimait beaucoup sa grand-mère, et comme beaucoup de petite fille, elle s'inquiétait pour elle. Depuis deux mois elle n'avait de cesse de venir la voir, elle avait même été jusqu'à annuler ses vacances avec sa meilleure amie. Son seul but avait été de lui redonner le sourire... en vain.
Jusqu'au jour où elle entendit sa grand-mère parler dans son sommeil, elle répétait sans arrêt des mots incompréhensible et cette phrase persistante : "Ne me prenez pas mon pentacle... ne me prenez pas mon pentacle". Affolée, Linda l'avait alors réveillé et lui avait apporté un thé bien chaud afin de calmer ses tremblements. Elle n'avait pas osé lui demander le sens de ses mots mais sa grand-mère savait qu'elle avait entendu quelques choses. Elle lui avait alors pris la main et lui avait simplement dit "Ma petite Linda, mes jours sont comptés... vas vers la montagne, celle où tu aperçois les ruines et pénètre à l'intérieur. Je ne suis qu'une vieille femme proche de la mort, mais je te demande une chose... vas récupérer mon pentacle. Tu es la seule à pouvoir le faire, mes jambes ne me porte plus... il ne me reste que toi !". Linda avait accepté, les mots de sa grand-mère l'avait profondément blessé, elle ignorait qu'elle allait mourir, elle qui était débordante de vie il y avait de cela à peine deux mois.
Aujourd'hui, elle avait suivi les indications de sa grand-mère et avait pénétrer dans le temple en ruine dont l'entrée était cachée par un frêne très âgé. Elle s'était dirigée tout au fond et avait aperçu une salle avec un mur recouvert de runes antiques. Elles n'avaient aucune sens pour elle mais ce n'était pas le plus important... sa grand-mère lui avait dit clairement "actionne l'oeil du serpent, il se situe dans la brêche au centre des runes... sa forme est semblable à l'animal. Tu y engoufre ta main et tu sentiras la pierre que tu dois presser".
Elle s'exécuta et sentit, en effet, la pierre en question qu'elle actionna sans hésitation. Une lumière violette éclaira la brêche et se répandit dans toute la pièce. Linda ne parvenait plus à sortir sa main, elle se sentit aspirer par un tourbillon et disparue.
Lorsqu'elle revint à elle, elle se trouvait dans un monde étrange recouvert de brumes et composé de nombreux marécages. Sa tempe lui fit mal et des images lui traversèrent l'esprit. Elle avait l'étrange sensation de connaître ce pays... d'avoir déjà foulé ses terres lointaines.

Voilou voilou pour moi... Ma note madame l'institutrice ?

Oh tu nous laisses sur notre faim là! c'est pô gentil d'abord! je vais le dire à la maîtresse!

Mouah mouah mouah !!!
On n'a jamais dit qu'il y avait plus de cinq mots !!! Et puis, c'est que de l'impro que j'ai fait... mon but c'était bien de mettre ses cinq mots

Voici ma contribution, certe un peu tardive je le concède.

Dans les temps anciens,
A l'époque des druides,
L'avenir livrait alors quelqu'uns de ses secrets
Pour qui savait lire le message des Dieux,
envoyé pour ses enfant par le biais de signes enigmatiques,
appelés Runes.

Brèches entre les deux mondes,
Mystérieuse technique qui guidait les égarés,
Au pied de Mère Nature,
Sous un arbre, le tirage était effectuée,
Par le Sage qui détenait la connaissance,

Dans le lointain le soleil se couchait,
La foret se recouvrait d'une couleur chatoyante,
Annoncant les prémices du Règne de la Grande Mère,
Le jeune Homme n'avait plus qu'a méditer,
Sur les paroles du plus sage d'entre les Sages,
Sa médaille entre les mains,
Ancien pentacle hérité de ses parents,
Le guidant dans ses reveries et sur son avenir anciennement incertain.

Tardive mais vu la qualité ça valait la peine d'attendre

c'est très joli !

merci,

j'aime bien les exercices ça donne de bonnes idées et ça me permet de me relancer

A moi ! Heureuse de vous revoir, j'avoue, j'eu honte pour mon dernier exercice, il me fallait un peu plus réfléchir. Je trouve que je m'améliore et je suis fière de moi

Hein, m'dame la maitresse que je ne fayotte pas


Julien regardait le lointain paysage d'une vallée fleurissante. Elle laissait à l'esprit l'illusion et le mirage d'une irrélle véritée, inateignable. Ses long cheveux noir vollait au vent qui soufflait sur le haut de la falaise aux pins. L'herbe verte sous ses pieds formait un charmant tapis d'une qualitée que seulle la bruine anglaise savait élever. L'horizon de ses pensées se méllait à cellui du paysage. Le bleu calme du ciel se méllait à l'oranger de l'aurore.

Il écoutait le vent lui parler, il sussurait à son oreille des mots tendres que l'on ne veux pas comprendre pour mieux les ressentir. Le vent l'envelloppas de sa présence, le transpersant d'une fraicheur qui apaisa le chaud de son corps. La rune qu'il avait emporté et mis dans son veston, tout contre son coeur sembla s'échauffer lentement. Elle sembla se mettre à irradier calmement une lumière indiscible. Seul les yeux de ce disciple des sectes de Grand Vent pouvait en percevoir le pouvoir, seul lui pouvait en sentir le doux écoulement.

Julien doutait. Il avait, il y a quelques temps rencontré un groupe étranger à sa secte, un groupe nomé "Centre". Ce groupe c'était mis en tête de le "sauver" de sa famille, de le sauver pour mieux le ramener au centre social du monde, là où la vérité n'est pas à chercher dans ses limbes, dans son foie ni dans le chuitement de l'eau qui courre sur les rochers. L'amour que Julien portait pour ce groupe qui lui avait fait découvrir les joies de la vie en société, les longues nuits autour d'un feu de joie, les calembours douteux de l'oncle Gégé et les flirts avec les jeunes demoiselles du centre était très grand. Mais à ce jour, l'influence de ses amis avait formé une brèche dans sa psyché, concernant son patrimoine culturel. Toute la croyance de ses ainés, qui étaient attachés au calme et à l'introspection furent dénigrée et remis en question, il fut mis devant les amis qui le firent culpabiliser d'aimer plus son calme que les amusements traditionels de ces gens .

Julien n'abandonna jamais sa famille, mais alors, pour mieux se comprendre il se plongea "peux être pour la dernière fois", se dit il, dans son monde intérieur. Il voullait en embrasser toute la splendeur, voir si tout ce qu'il y avait découvert n'était pas qu'une illusion. En son intérieur où toutes les couleurs magnifiques qu'offre la nature sont exacerbés par une lumière blanche, il contempla le grand frène, symbole du savoir des anciens de son clan. L'arbre ne le regardait pas, mais l'arbre réflechissait ses inquiètudes. Il lui renvoyait des réponses à ses intérrogations. Il lui parlait sans lui répondre. Le grand frène n'était il pas le siège de sa propre pensée? Mettre en image ce qu'il est, et mieux se voir sans être, le conduit il inévitablement à l'illusion? Construire un monde intérieur le représentant dans tout ce qu'il sera depuis le début de sa civilisation est il un crime? En sa psyché ne devrait il y avoir qu'une lumière, que sa lumière, sans autre art que cette divine lueur?

Un homme-pentale semblable aux lutins à tête d'oeuf se mit à traverser la prairie où se balancait paisiblement l'arbre, au gré du vent des sentiment de Julien. Le vent mena les yeux de Julien à s'interresser à l'homme-pentacle. Ce vent, lui demandait il de s'interresser à la symbolique du pentacle, ou lui demandait il de le contempler, simplement pour laisser ce nouveau personnage se présenter? Ses amis du cercle l'avait fait douter et il n'arrivait plus à entendre ses créations lui apporter leur sagesse. Il se devait alors de retrouver leurs symbolique, soit les matériaux avec lesquels il avait attentivement, et entouré de ses sages ancêtres, confectionné le reflet du monde extérieur. Il se pencha un peu plus, sur l'homme pentacle, le regardant, le contemplant. Le vent de ses émotions, de ses inquiètudes soufflaient de plus en plus fort. La tempête se levait en lui. Un coup de tonnerre résonna dans son ventre. Son corps le rappelait hors de son sanctuaire.

Il s'extirpa de sa rêverie. Son monde était il en sécurité, si lui même doutait de son existence, mais comment s'inquièter d'une chose qui n'existe peux être pas? Il se raisona. L'homme pentacle semblait à présent lui répondre. Il compris que la véritée ne peux être que cernée, elle ne peux être que présente à l'intérieure d'une chose puisque c'est le trait qui donne vie au dessin. Julien releva le regard, il venait de comprendre que s'il voullait être libre, il ne pouvait l'être que seul, ou bien il serait comme les gens du cercle, qui ne sont rien les uns sans les autres.
Mais être seul dans son esprit ne signifie pas être seul dans la vie...

ben franchement j'adore, je trouve que ça renvoit bien à la magie, à la nature, au combat intérieur de certains qui ont choisi une voie différente. Bravo; tout en émotion...

Bon c'est pas grand chose, désoler je n'etait vraiment pas inspirer sur le coup

Une brèche c’est ouverte dans le sol comme quand on coupe du beurre en son milieu, le sol s’était séparé en 2. Les runes avaient pourtant annoncé ce séisme qui séparerait le monde en 2 parties lointaines. Depuis la nuit des temps une apocalypse était annoncé, tout les signe y sont, mon pentacle tremblais, ah non, c’est moi qui tremble en fait. Même se vieux frene la bas est en train de tomber, je ne sais pas comment on va s’en sortir, c’est vraiment terrible.

Vraiment très beau en effet... j'aime bien le fait que tu parles de la déesse mère

Très jolis textes ^^